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À l’inverse de l’exorcisme, l’adorcisme désigne le processus d’acceptation ou d’intégration d’un esprit ou d’une force surnaturelle, accueilli positivement et dans un but d’apaisement. Ici, le terme représente une acceptation des bouleversements physiques et psychiques vécus pendant l’adolescence, ou comment tenter d’apprivoiser la vie et son imprévisible immensité.

Baptiste Febvre signe ici sa première création théâtrale, mêlant autobiographie et fiction dans une archéologie sensible de la mémoire. Corps, musique, image et vidéo deviennent les langages d’un récit intime et collectif, interrogeant la construction de l’identité, du désir et du lien à l’autre.

" L'adolescence [...] dans tout ce qu’elle peut avoir de lumineux, de crépusculaire et de trouble. " Baptiste Febvre

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Texte et mise en scène : Baptiste Febvre • Création sonore : Grégoire Durif Création lumière/vidéo : Amandine Robert • Scénographie : Andrea Warzee • Collaboration artistique : Marie Depoorter • Conseil dramaturgique : Raphaël Gautier, Laura Tirandaz • Avec : Chloé Bouiller, Grégoire Durif et Baptiste Febvre • Crédit visuel : Clarisse Huguenin

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